Retour salvateur, aux sources, à l’essentiel pour transcender sa vie et celle des autres

Comme nous l’avons compris, nous vivons dans un monde où l’avoir et le paraître prédomine sur l’être, où l’esprit cartésien et scientifique écrase avec un orgueil égocentré l’âme et la spiritualité. Il faudrait que dans toutes choses qui dépassent nos entendements l’homme trouve réponse à tout ! Néanmoins, on ne peut plus rester aveugle et faire la sourde oreille face à toutes les expériences de mort imminentes qui nous ont été rapportées par des expérienceurs, face à autant de sincérité, de cohérence et leur changement radical de personnalité.

http://www.youtube.com/watch?v=-UMlBjM-zfQ

En septembre 2006, j’ai perdu un ami qui avait seulement 35 ans d’une rupture d’anévrisme. Dans la nuit de son décès, j’ai reçu sa visite. Je dormais lorsque je fus à demi-réveillée par une lumière qui s’est comme ouverte au dessus de mon lit, il n’était pas seul, il y avait une autre personne, comme un guide qui me dit via télépathie ceci : « un être cher veut vous voir une dernière fois », je me suis rendormie très apaisée et j’ai gardé ce souvenir. Je vous invite à parcourir ce site , un trésor d’humanité et d’humilité : http://www.nderf.org/French/index.htm

Il y a trois mois, j’ai perdu de nouveau une personne que j’appréciais beaucoup. C’était un petit soleil avec un grand coeur. Une personne qui prend toujours sur elle, toujours prête à aider, à donner le meilleur d’elle-même dans tout ce qu’il entreprenait avec toujours ce sourire qui ornait son visage et qui cachait bien des misères de l’existence et c’est ce désespoir qui l’a tué, il s’est donné la mort à, à peine, 25 ans. J’ai beaucoup été affectée par ce deuil et ne pouvant m’y résoudre, j’ai essayé de rentrer en communication avec lui d’abord via la parole, la pensée puis via une technique appelé la transcommunication. Cela consiste à faire des enregistrements via des supports instrumentaux afin de tenter de capter des voix d’âmes défuntes audibles seulement à la réécoute. Ceci doit se faire avec la plus grande sincérité face à des deuils insurmontables, non par curiosité déplacée ou soif de sensationnel. Il m’a donné un signe de lui « je vais bien », via cette petite phrase c’est un cadeau merveilleux qu’il m’a offert car il m’a donné la foi, un sens à ma vie qui était à la dérive. J’étais en danger, sans cela nous n’aurions pas pu nous retrouver. Dieu lui a pardonné, m’a pardonné aussi je crois … Mon petit soleil m’a sauvé, c’était sa mission divine. Merci mon petit ange au sourire cache-misère, je suis persuadée que ton sourire est maintenant aussi rayonnant que la lumière qui t’entoure …

Transcommunication – secondes 57 et 58 : chuchotement en voix dîte souffle « je vais bien » en réponse à ma dernière question : « je voulais juste savoir si tu vas bien ? » A écouter avec écouteurs son au maximum « je voulais pas te vexer, je suis désolée de ne pas avoir fait ce qui fallait faire mais peut être que tu es mieux là où tu es, je voulais juste savoir si tu vas bien ? »

http://www.youtube.com/watch?v=GMfUjLB1ihE

L’esprit, le corps et l’âme sont en lien étroit, il faut prendre soin des trois pour « être vraiment bien » … Ame commence par amour. Dans tout ce qu’on entreprend, il faut y mettre du coeur, de l’amour, son âme. La pensée, la parole et l’action juste, toujours donner le meilleur de soi-même.

La médecine soigne le corps, la psychologie l’esprit et la foi l’âme … Il faut s’attaquer à la cause de nos maux et il me semble que nos maux trouvent leur source dans les bleus de l’âme … Revenons donc à la source du problème pour être bien de façon pérenne …

Je vous souhaite une belle vie et de vous rapprocher toujours de l’amour à chaque instant dans tout ce que vous entreprenez.

Ca ne prend rien de tendre une main

 

Les anges nous tendent la main mais encore faut-il le voir pour y croire et surtout y croire pour le voir …

Voici une « écriture inspirée » … par un ange … écrite il y a deux ans qui, je pense, mérite d’être méditée :

Il est des soirs comme celui-ci où je suis comme tirée de mon lit par une voix bienfaitrice qui me parle à demi-mots pour me donner des perles de sagesse.

Elle m’a encore conté ce soir qu’il est des grands enfants qui se perdent à tout jamais dans les méandres d’une vie de chimères … Le fil qui les guide n’est pas le bon, ils aspirent au bonheur mais ne prennent pas les bons chemins pour y accéder.

Aussi ne nous fourvoyons pas en donnant un mauvais sens à notre vie. Prenons-la en nos mains grandes ouvertes comme un cadeau du ciel, sublimons-la par notre esprit, redevenons l’enfant que nous étions qui pose son regard neuf sur toutes les petites merveilles qui l’entoure et transcendons-nous pour être en harmonie avec nous-même et tout ce qui nous entoure, une communion avec cette vie extraordinaire, les trésors de la nature, des êtres.

Ce n’est pas une voix moralisatrice qui s’offre à moi encore ce soir, ce n’est qu’une voix salvatrice, une de celle qui veut  nous tirer de la noirceur d’une vie tronquée, bafouée par les temps modernes, la société de consommation et profits, pour nous mener au vrai bonheur qui est pourtant à cueillir à portée de nos mains mais parfois difficile à atteindre à qui ne le voit pas.

Ensemble échappons à la spirale hédonique infernale et gardons en mémoire ce petit proverbe empli de sagesse que tout à chacun devrait connaitre et méditer :

« Pour vivre heureux, il faut savoir se contenter de peu »

Je me suis tellement trompée sur le véritable sens de la vie, j’ai cru que l’argent faisait le bonheur, que l’herbe était plus verte ailleurs, que le paraitre était plus important que l’être, j’ai honte de moi quelque part mais la honte ne tue pas et je vais changer ma façon de penser, ma façon de fonctionner comme une renaissance, l’esprit, le coeur et le corps léger, une deuxième chance qui s’offre à moi pour ne pas regretter ses choix quand il sera trop tard pour changer de direction. Mes amis, croyez qu’il est des choix existenciels à ne pas prendre à la hâte.

« Je sais que je ne sais rien » même si pourtant, des amis m’avaient mise en garde contre les mauvaises influences mais parfois l’on demeure aveugle, sourd et muet, le corps et l’esprit engourdis. Celà s’explique par le fait que je suis une personne fragile qui manque de confiance en moi mais capable de remises en questions et ouverte aux opinions des tiers.

Il m’arrivait parfois de m’extirper de cette léthargie avec des rappels vitaux à mes véritables fondements émanant de ma conscience emprise qui ne demandait qu’à se réveiller :

« Le paraitre  ne dure qu’un temps, je n’ai pas besoin du beau monde pour me sentir exister, ô combien les paillettes sont aveuglantes, illusoires, méprisantes et brûlantes … »

Je remercie cette voix qui demeure au fin fond de nous même, elle m’apaise déjà, je ne veux plus être triste, je ne veux plus souffrir, je veux grandir, vivre en étant sereine, libre, bienfaisante autour de moi, donner pour mieux recevoir des trésors d’humanité.

J’implore le pardon des personnes que j’ai fait souffrir par mes choix érronés.

La vie ce n’est pas ça, non, la vraie vie c’est tout autre chose …

Je vous aime.

Prendre son envol

Il n’y a pas de hasard sur terre, les difficultés que nous rencontrons dans nos vies sont celles que nous devons affronter pour que notre âme s’élève, c’est un parcours déjà tracé mais nous sommes toujours libres d’ouvrir les portes du bien ou du mal en notre « âme et conscience ». Il y a aussi des maux pour des biens placés sur nos routes qui nous font apprendre de nos erreurs et progresser, que Dieu nous accorde sa miséricorde. Notre corps de chair est fragile, éphémère, c’est cette enveloppe laborieuse que nous incarnons qui va pourtant nous permettre de nous envoler vers d’autres cieux. Nous sommes tous, ici bas, frères et soeurs de sang, nous devons apprendre à nous aimer et nous aider malgré nos différences qui sont en réalité des richesses. Aucune conquête ne peut justifier de faire du mal à autrui, ici rien ne nous appartient, seule notre âme. Il n’y a que la sagesse qui peut sauver l’humanité. L’homme est en train de s’autodétruire trop aveuglé par sa cupidité. Choisissez toujours l’être à l’avoir et au paraître, aimez, ne jugez plus, comprenez, pardonnez. Le respect, l’amour des autres passent par soi-même, éteignez vos colères qui vous lient au mal et vous serez libéré de ce boulet qui vous empêche d’élever votre âme vers la sagesse et la spiritualité. Acceptez-vous, aimez-vous sainement, faîtes le bien autour de vous à la moindre occasion tel est notre dessein.

On a tous une prison intérieure qui nous empêche d’être libre et serein

J’ai eu une année pour comprendre, apprendre des tas de choses et sortir de ma prison intérieure. Sur la psychologie d’abord, mon fonctionnement pathologique, j’étais attirée par des personnalités narcissiques de par ma problématique borderline en formant par complémentarité malsaine un couple « hostile-dépendant ». Ce n’est pas parce que je n’ai pas eu beaucoup d’amour étant enfant que je n’ai pas le droit à l’amour et au bonheur aujourd’hui et que je dois me maltraiter et accepter que l’on me maltraite également. Il faut s’autoriser à être heureux et réapprendre à aimer les belles personnes (intérieurement parlant). J’étais très en colère contre mes parents, mon père alcoolique et ma mère maltraitante et je n’arrivais pas vraiment à accepter mon passé et vivre avec, ni à leur pardonner tout le mal que j’avais enduré. En comprenant mes fonctionnements pathologiques grâce à mes remises en questions permanentes, j’ai pu comprendre les fonctionnements des autres, de mes parents et de cette empathie est née une réelle compassion et tout naturellement un véritable pardon. Je suis très loin d’être parfaite, j’ai fait du mal moi aussi, Dieu est miséricordieux et nous devons tous l’être. En pardonnant aux autres, on se pardonne à soi-même et Dieu nous pardonne. La colère rend aveugle, elle empêche de voir la lumière, elle rend méchant et nous maintient dans un état de souffrance.

Une aile protectrice, une aile d’ange qui vous berce …

Il y a un an, lors d’un soir de désespoir, je me suis adressée au ciel sans trop y croire. J’ai demandé à qui voudrait bien m’entendre, une aide, pour que je puisse devenir meilleure pour les autres et pour moi-même. Il y a un an, j’étais « borderline », je m’autodétruisais en ayant des comportements à risque pour mettre un terme à mes souffrances. J’en avais assez d’être si malheureuse et de faire tellement souffrir autour de moi. J’ai traversé une année de remises en question, de doutes, de difficultés qui ont faillit me coûter la vie mais qui m’ont finalement permis d’avancer dans l’école de la vie … « Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort ». Chaque jour est un cadeau du ciel où l’on a la chance de pouvoir faire le bien autour de soi, de donner et recevoir de l’amour, d’apprendre, de regarder tout ce qui nous entoure avec l’émerveillement des yeux d’un enfant … Je suis infiniment reconnaissante des anges gardiens qui veillent sur nous, qui tentent de nous guider au quotidien pour que nous choisissions les bonnes portes, celles qui mènent à la lumière … On m’a entendu, on m’a aidé, je remercie le ciel … Je n’ai pas besoin de médicament, la foi m’a guérit !

Au-delà, il y a …

Au-delà de tout, des différences, de la matérialité, il y a un infini merveilleux d’amour … Je vous prie de toujours essayer d’ouvrir grand vos yeux, votre esprit, vos oreilles, vos mains et surtout votre coeur …

Toi qui me lis, qui m’observe du haut de ton pied d’estale, je t’en conjure d’en descendre avant qu’il ne soit trop tard. J’ai trouvé le sens de la vie après moultes recherches et chemins de traverses. J’ai abandonné mon égo et par lien de cause à effet, les blessures de mon enfance qui en découlent. J’ai laissé les chimères de l’avoir, le paraître loin derrière. J’ai rempli mon vide intrinsèque d’amour et de foi, je me donne toute entière aux personnes égarées qui comme moi, à un moment donné, ont besoin d’être aidées car « ça ne prend rien de prendre soin ». Je leur tend ma main avec le coeur sans rien attendre en retour, je leur souris quand leur visage semble fermé, je leur transmet l’espoir d’un monde meilleur qui outrepasse l’entendement des plus cartésiens, l’espoir de retrouver les êtres chers qui leur manque cruellement. Un ange m’a parlé, un ange qui est parti trop tôt, il avait pour mission divine de me donner la foi pour qu’elle m’aiguille vers la lumière. J’ai abandonné les nourritures terrestres qui nous détruisent de l’intérieur sans que nous nous en rendions compte. Le véritable sens de la vie c’est de donner de l’amour tout autour de nous et d’élever notre âme vers la lumière. Rassurez-vous, je suis saine de corps et d’esprit désormais, je n’ai plus besoin de votre médecine que j’ai tant attendue pour me guérir, la foi, l’amour des autres a pansé mes plaies. Je vous prie de ne pas vous perde dans cette vie de chimères, d’écouter votre coeur en votre âme et conscience, de faire le bien autour de vous, il n’est jamais trop tard pour changer. Ne voyez pas à court terme mais à bien plus long terme …

Tous les cheminements ont une fin …

Mes amis, j’ai longtemps cheminé dans des sentiers sinueux, pas très fréquentables même, et j’en suis arrivée à la croisée des chemins : il y a d’un côté le bien et d’un côté le mal. Mon âme s’est parfois trompé, s’est parfois égarée … Je prie les cieux de m’accorder leur pardon, leur miséricorde pour tout le mal que j’ai semé … La lumière est parfois au bout …

Possédée

Je cherche, je cherche … Tout ce qui ne s’achète pas, tout ce qui se donne avec le coeur … Il faut croire que je cherche mal, que je ne sais pas chercher … « Le hasard » m’a encore mis sur la route d’une personne malintentionnée, maligne pour ma personne. Il me détruit de l’intérieur. Tout ce fragile équilibre que j’avais tenté de mettre en place devient bancale. Plus il me fait du mal, plus je crois l’aimer. Ma pneumonie et mon hospitalisation m’ont fatigué, il me pompe les miettes d’énergie qu’il me reste comme un vampire affectif. Je revis le désamour de mes parents aux travers de mes relations amoureuses et tente toujours de conquérir et d’obtenir leur amour sans relâche, coûte que coûte quitte à y laisser ma vie. J’aimerais rompre cette spirale infernale qui me détruit, j’aimerais stopper ce fonctionnement malsain dans un élan salvateur mais je ne contrôle pas tout, je ne me contrôle pas. Le diable s’empare de moi.

Miss hyde demeurera-t’elle toujours en moi, pourrais-je avoir la paix ailleurs que dans la mort ?

Lever le voile sur soi-même …

Je me cherche depuis toujours, tout le monde se cherche au moins un temps, en fait je crois qu’on se cherche toute une vie durant …

J’ai trouvé un équilibre dans cette solitude par moment acide. J’essaie de me trouver en elle qui me creuse de l’intérieur, qui me sonde.

Elle m’offre du temps qui compte que je n’avais plus. Celui qui vous donne à réfléchir. Le temps c’est la vie.

Je ne regrette pas ce choix, je me suis trop longtemps vécue comme entre parenthèse, comme passant à côté de la vie. J’ai soif de savoir, d’apprendre et cette envie c’est une grande richesse.

C’est ce développement personnel qui m’amènera à « être-mieux ». Je crois.